— gaudenz badrutt —

Duo Jonas Kocher (accordion) – Gaudenz Badrutt (electronics).

jkgb_quiet_cue

(PHOTO © Nicolas Wiese)

Founded in 2009, this duo developed a subtil work that explores the relations between the very electronic sounds of the accordion and the instrumental potential of the electronic. They create a fragmented and tensed sound universe, always open to the present and the accidents.

Concerts at the Festival Le Bruit de la Musique, Sanatorium Dźwięku Festival, Festival Influx#2 Toulouse, SwissMusicDays Belgrade, JOLT Festival Basel, St.Petersburg, Prague, Helsinki, Tirana a.o.

 

„Kocher continue d’explorer les registres extrêmes de l’accordéon, des registres qui s’entremêlent facilement avec l’électronique (notamment les aigus proches du larsen, mais aussi les bourdons très graves, constants et légers). De son côté, Badrutt tisse des fils très ténus, sensibles et délicats, des drones aigus ou très graves irrégulièrement rompus par des brusques interventions sonores qui peuvent paraître acoustiques: sortes d’interventions bruitistes qui pourraient faire penser à des objets lourds entrechoqués après un calme de plusieurs minutes. On retrouve énormément de bourdons légers, à peine perceptibles, des bourdons qui laissent parfois „entrevoir“ des sons extérieurs et étrangers. Mais aussi le même intérêt pour les dynamiques propres aux timbres et aux modes de jeux, ainsi qu’un intérêt pour la tension et l’intensité propres au silence et au calme. Car ce sont bien ces deux termes qui peuvent qualifier la majeure partie de cette improvisation: un calme constant malgré des irruptions violentes sporadiques, ainsi qu’un silence toujours sous-jacent et tendu. Encore une fois: du beau travail – recommandé.“

(improv-sphere about ’strategy of behaviuor in unexpected situations‘)

„There is presented just one long-running 26 minute track. Indeed, it consists of incisive accordion dodges and ominous drones by Jonas Kocher and live electronic hovers and rough glitches and sharp attacks of noises. Theoretically, it does not sound simply like cinema rex its sounds rather like cinema tyrannosaurus rex – because this composition is filled with fear and horror ready to attack the listener. The silence represented on it seems to be balefully towering – at times it evolves very slowly to be ready to burst out sometime and move to the next more noisy level. All in all, it is a fabulous live session issued on an experimental record label, Insub. (formerly known as Insubordinations). “

(Blog ‚recent music heroes‚ about ‚Cinema Rex‘)

More reviews…